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Mes meilleures techniques d’ancrage

Qu’est ce que l’ancrage ?

Être bien ancré, enraciné c’est avoir les 2 pieds bien sûr terre

Un mauvais ancrage peut donc venir d’un conflit d’incarnation. Une partie de nous peut être nostalgie des mondes de lumière d’où nous venons et avoir de la difficulté ou voire carrément refuser d’être ici. Tout simplement parce que cette partie préférerait être là bas. Démotivation, perdre du goût de la vie, perte de sens, “qu’est ce que je fais là? à quoi ça sert ? à quoi bon?” peuvent être des signes d’une perte d’ancrage importante.

Il est primordiale d’écouter cette part de nous, de lui parler et de la rassurer. Cette incarnation, cette vie est temporaire et nous retournerons forcément dans les mondes de lumière retrouver notre famille de lumières. Mais avant cela nous devons vivre et expérimenter ce que nous avons choisi avant de venir. 

On peut prendre cette décision en disant à voix haute:
”J’annule toute décision de partir prématurément ou de ne vivre qu’à moitié. A partir de maintenant, j’accepte pleinement mon incarnation, j’accepte d’être ici bas, je suis ici et maintenant à 100% avec toutes les parties de moi. Je m’ancre et je m’enracine solidement. C’est mon nouveau choix et je l’intègre jusque dans mon ADN dans l’harmonie au point zéro” Répéter 3 fois et autant que besoin dans la journée pour intégrer le message. 

Quand on est bien ancré l’énergie circule harmonieusement dans tout notre corps, y compris dans le bas de notre corps, jusque dans nos pieds.

Plusieurs exercices peuvent renforcer cela. Voici mon favori :

Marcher pieds nus sur le sol ou mieux sur l’herbe, dans la nature pour être en contact direct avec la Terre Mère et profiter pleinement de son attraction terrestre pour nous aider à faire descendre nos énergies. Marcher en amenant sa conscience dans ses pieds, en prenant conscience de chaque pas, de la sensation du sol sous nos pieds, en ramenant tout notre poids dans nos pieds, en ayant même l’impression que nos pieds s’enfoncent dans le sol. 

Marcher pieds nus dans l’herbe renforce l’ancrage

On peut aussi choisir un bel arbre solide pendant cette marche, demander sa permission d’entrer en contact avec lui (comme on demanderait à un ami avant de lui faire un câlin) et quand on sent qu’il est d’accord, s’adosser à son tronc les mains sur son écorce vers le bas. Demandez lui de vous faire sentir son enracinement. Imaginez que vous ne faites plus qu’un avec cet arbre et que vos racines poussent et plongent solidement dans le sol. Renforcez vos racines rendez les nombreuses et solides. Respirez bien pendant toute cette expérience et à chaque expire descendez l’énergie dans vos racines jusqu’au cœur de la Terre. Entourez vos racines autour du noyau terrestre. Remerciez la terre de vous accueillir, de vous nourrir, de vous protéger… Respirer quelques instants au coeur de ce noyau d’amour. Et tout en gardant vos racines autour du noyau laissez simplement votre conscience remonter le long de vos racines en permettant à l’énergie terrestre que vous pouvez voir de couleur rouge de remonter elle aussi. A chaque inspir, inspirez l’énergie terrestre et à chaque expire laissez le remonter, diffuser dans vos racines. Cette énergie tellurique va venir nourrir votre corps et remplir vos pieds, vos chevilles, vos mollets, vos genoux, vos cuisses et votre bassin, jusqu’à votre coeur. 

Se recentrer et s’ancrer avec l’aide d’un arbre
Crédit Photo : Peggy HERMITE, tous droits réservés

Cet exercice est à faire autant que possible dans la nature, au moins une ou 2 fois pour bien s’en imprégner. Vous pourrez ensuite le faire plus facilement chez vous. 

D’autres outils peuvent être utiles pour renforcer l’ancrage pendant cet exercice notamment les pierres et les huiles essentielles. Certaines ont en effet la capacité de ramener l’énergie dans le bas de notre corps et dans nos pieds. 

Il s’agit de la tourmaline noire, du jaspe rouge, l’hématite, de l’obsidienne, du grenat entre autres. Tenez les dans vos mains (une pierre dans chaque main) en amenant votre conscience dans vos pieds et poursuivez de la même façon que ci dessus.

Les pierres favorisant l’ancrage

Il existe aussi des synergies d’huiles essentielles qui vont avoir cet effet d’ancrage :

Balance (dōTERRA) qui en plus d’apaiser et rééquilibrage les émotions nous aide à être bien présent. Mettre une goutte sur les poignets et respirer en plongeant ses racines dans le sol jusqu’au cœur de la Terre. On peut aussi mettre une goutte sous chaque pied et les masser pour ramener davantage notre conscience dans nos pieds. 

Anchor (du kit yoga dōTERRA) c’est la première synergie qu’on utilise pour commencer sa pratique de yoga, ou méditation pour être bien présent et renforcer notre stabilité : sur les poignets et respirer et/ou sous les pieds. 

Parmi les huiles simples on peut citer : la myrrhe, le nard, le géranium, le thym, le palmarosa, le cèdre, le vétiver, l’encens et l’ylang-ylang. Les senteurs boisées et d’arbre en général. Laissez vous attirer par une de ces huiles, par l’odeur qui vous plaît le plus et respirez la, diffusez la ou massez vous les pieds avec en ajoutant un peu d’huile végétale. 

Les huiles essentielles favorisant l’ancrage

Dernière petite astuce, l’ancrage est liée au chakra racine, celui qui nous connecte à la Terre. On peut stimuler ce chakra par l’activité physique, la danse, des mouvements en 8 avec le bassin, la couleur rouge (pantalon, chaussettes, chaussures, sous vêtements) et les sons graves qu’on fait résonner dans le bassin. 

Sans ancrage tout reste en suspend à l’état idée et c’est dommage. Être bien ancré va permettre d’amener les énergies dans sa vie, de concrétiser dans la matière nos idées, et d’accéder à l’abondance. De se sentir centré, aligné et plus dans le flux de la vie. 

“Je suis (nom+prénom) ici et maintenant, solidement ancré dans ma réalité, je concrétise mes idées et mes rêves, dans l’harmonie au point zéro. “

Je vous souhaite un plein épanouissement dans votre vie, incarné, aligné et dans l’abondance

Coeur et gratitude
Peggy

Reconnecter la joie de vivre et l’installer dans sa vie

Quand la morosité s’est invitée dans notre vie et que l’on peine à se défaire de son manteau pesant cela peut se transformer en une lente descente aux enfers. Voici quelques pistes pour retrouver le chemin de la légèreté et de la joie de vivre.

Il faut toujours se souvenir de cette première loi universelle : l’énergie suit l’intention. Cela signifie que vous donnez votre énergie à l’objet de vos pensées et pré-occupations. Et malheureusement dans les moments de vie difficiles, que ce soit lors de problèmes relationnels, professionnels, financiers, de santé…, nos pensées sont souvent en boucle sur ce problème. Ce qui est absolument contre-productif. Cela rajoute de l’eau au moulin. C’est comme si on envoyait à l’univers le message suivant : “je pense constamment problème, j’aime les problèmes, envoie moi en encore pleins!”. Alors qu’on est d’accord c’est exactement le contraire que l’on souhaite.

Les solutions

  • Je dresse un petit bilan.
    Première chose, après l’état de sidération, somme toute normal, et qu’il est in-dis-pen-sa-ble d’accueillir. Il ne s’agit pas de nier ce que nous vivons, de soulever le tapis et de tout cacher dessous. Mais plutôt de faire le constat et identifier les émotions en présence. “Ok, ce n’est pas glorieux, c’est difficile, je suis triste/effondré.e/en colère/ découragé.e/… mais j’accueille. C’est là, donc j’écoute.”
    Dans un second temps on peut se demander ce que l’on veut vivre à la place : aller mieux, mais cela veut dire quoi exactement ? Vivre plus de joie, de légèreté, avoir plus d’entrain, (re)trouver un but, avoir le courage d’agir, trouver l’impulsion d’y aller, s’affranchir de ses peurs, avoir une meilleure image de soi, ressentir plus d’amour de soi…Un peu tout ça à la fois, sans toutefois savoir comment faire, tant l’énergie peut faire défaut.
  • Je fais appel à mes ressources
    Je mets le projecteur sur des moments positifs de ma vie. Je me remémore ces moments de bonheur passé plus ou moins lointain. Toutes les périodes où je me sentais bien. Partez du souvenir qui surgit et revivez le dans son ensemble. Où étiez-vous? avec qui? que faisiez-vous? comment vous sentiez vous ? Replongez vous complètement dedans. Laissez un sourire s’esquisser sur votre visage. Respirez pour sentir à nouveau la paix et la tranquillité s’installer. Et ramenez tout cela dans le présent.
  • Si mon mal-être est lié à mes relations amicales ou familiales :
    Je fais le tri dans mes relations autant que possible. Il est parfois nécessaire de prendre son bien en urgence, de se faire passer au premier plan. Et la seule mesure est parfois de prendre un peu (voire beaucoup) de distance. Chacun saura trouver l’équilibre qui lui est propre.
  • Faire le tri dans ce que j’aime = je suis prêt à refaire, j’en veux encore, je garde, merci
    ET ce que je n’aime plus = alors ça merci j’ai testé, je n’en veux plus, je transforme ou j’abandonne, je passe à une autre expérience.
  • Je prends du temps pour moi, je me reconnecte à moi.
    Quand je me sens perdu.e, que ma boussole intérieure s’affole ou ne m’indique plus rien du tout, c’est un indicateur précieux. Il est urgent de faire une pause pour se reconnecter à son essence, la part de nous qui est parfaite et omnisciente, de faire le bilan et de m’interroger sur quelle direction je choisis de prendre maintenant.
    Pour m’aider, je m’oblige à sortir : le mouvement c’est la vie. Je marche, je respire au grand air, je médite dans la nature.
  • Je dresse une liste de rêve.
    Quand j’étais petit de quoi de rêvais?
    Qu’est ce que j’adorais faire? Quel type de jeu, d’activité dans mon enfance?
    Est ce qu’il y a quelque chose que j’ai toujours rêvé d’apprendre et que j’ai toujours remis à plus tard : un instrument, une technique, une langue, un art, un sport?
    Quand j’étais occupé, que je n’avais pas une minute à moi, qu’est ce que je rêvais de faire ? “Ah si j’avais du temps, je ferais…/j’irai…/je serais…/j’aurais…?
  • C’est quoi mon idéal de vie ?
    Et si je vais un peu plus loin, si j’avais une baguette magique, avec laquelle je peux tout avoir, tout vivre, tout être. C’est comment ? Décris en détail à quoi ressemble ta vie : les couleurs, les émotions, ce que tu fais, où, avec qui. Et comment tu te sens dans cette vie?
    Qu’est ce qui te manque pour y arriver ? Quelle expérience ou compétence ? Du matériel, une relation, de l’argent ?
    Est ce facile pour toi de les obtenir ? Comment et dans quel délais ?
    Ramène tout cela dans ton cœur, dans le présent.
  • Que peux-tu faire pour te rapprocher de ton rêve ?
    Rédige ton plan d’actions pour y arriver. Affiche le pour l’avoir sous les yeux .
    Quelle est la première action réalisable tout de suite ?
    Mets la en pratique, mets toi en action.
  • Et s’il n’y a rien qui vient ?
    Peut être que c’est une période où il n’y a rien à faire que se poser. L’hiver la nature se met en sommeil. Nous sommes aussi des êtres cycliques. Alors si le besoin urgent réside dans le “Rien faire”, il est nécessaire de le faire à fond ! Assied-toi et ne fais rien jusqu’à l’émergence d’une nouvelle impulsion. Mets toi à l’écoute de tes sensations intérieures. Ecoute la moindre envie : “tiens je prendrais bien l’air, je lirais bien tel livre, j’appellerai bien Untel, je rendrai bien visite à Unetelle, j’irais bien Ici…”
    Ecoute et suis cette petite voix même si cela te paraît farfelu, fais juste l’expérience (tant que cela ne te mets pas en danger bien sûr !) . Cela va te remettre en mouvement doucement, à ton rythme. Tu as sûrement besoin de beaucoup de douceurs et de repos. Respecte ces besoins vitaux.
    Ces petites envies intuitives pourraient te mener vers un lieu inspirant, ressourçant, une rencontre, un mot qui fait tilt et te donne l’impulsion de poursuivre.
    Suivre son intuition, sa petite voix est aussi simple que cela, tirer sur le fil et laisser se dérouler pour voir où cela mène.

    Et si malgré tout cela, il n’y a vraiment rien de rien qui se passe, alors l’aide d’un thérapeute parait inévitable pour explorer les blocages en présence.
    Pour toutes questions ou rdv : 06.03.311.211.

Je te souhaite de retrouver le chemin de l’harmonie, de la joie, de la légèreté et de la liberté très rapidement.

Dans les moments difficiles, on se sent parfois déconnectés

Il y a quelques jours je suis “tombée” sur un post de Lulumineuse sur Instagram :

Parfois, alors que de coutume vous entretenez une guidance intérieure quotidienne, il vous arrive de vous sentir comme déconnecté de votre propre réseau interne. Comme si vous n’arriviez plus à entendre cette voix du coeur, cette guidance qui peut prendre de multiples formes et de multiples chemins. Et bien sachez que même les plus grands maîtres traversent de telles périodes. Car elles sont favorables à bien des niveaux. Parfois, elles sont nécessaires comme un retour aux sources, un chaos nécessaire à des changements profonds et intimes, dans cette intériorité qui cherche à s’étendre par de nouvelles passerelles encore inexplorées. Ces déconnections passagères nous invitent dans nos propres profondeurs, dans notre obscurité pour puiser au fond de nous les forces que nous n’aurions alors jamais sollicitées. C’est l’occasion, l’invitation de notre âme pour mettre ces forces insoupçonnées en mouvement vers une nouvelle configuration intérieure. D’autres fois encore, cette coupure éphémère est une protection nécessaire. Un manteau que l’âme revêt pour se prémunir, afin que la personne soit préservée d’énergies qui ne lui sont pas favorables. Ou qui pour la période, ne lui sont révélées qu’en partie pour permettre une meilleure adaptation, une intégration plus diffuse et constante. Nos antennes sont de merveilleux outils qu’ils nous faut comprendre et entretenir avec patience et Amour, en plus de les développer.

Alors si pour un temps il vous semble que la réception ne vous est plus permise d’une manière où d’une autre, prenez cette expérience comme une action bénéfique qui se joue dans votre intériorité, c’est de ce point qu’il faut prendre pour habitude de s’observer.

Lulumineuse

Et bim! C’est exactement ce que j’ai ressenti il y a quelques jours ! Et oh combien cela m’a été inconfortable de me sentir, de me croire déconnectée, isolée, abandonnée, seule face à mes problèmes ! Merci Lulumineuse pour ces mots éclairants et réconfortants.

Ma solution dans ces cas là, dès que je sens que je suis en mode “je ressasse du négatif comme un hamster fou dans sa roue” :

1️⃣ Je le reconnais sans m’apitoyer davantage : “OK, là je ne vais pas bien”.

2️⃣ Je relativise : “Je sais que c’est temporaire, y’a déjà eu des coups durs et j’en suis toujours sortie, j’ai toujours su rebondir”.

➡️ Là on est d’accord je suis toujours dans le mental. Il tourne à fond, il a besoin de nourriture, mais aussi d’être recadré. Je lui donne donc un peu de grain à moudre pour l’apprivoiser.

3️⃣ Je décide de sortir du mental et de revenir au temps présent. Le stress, les angoisses n’appartiennent qu’au passé ou au futur.
Je respire donc en conscience. Ça squeeze le mental et ça reconnecte au corps, ici et maintenant.

4️⃣ J’utilise l’un de mes outils de ma boite à outils magique : EFT, méditation, auto soin, oracle, ou mantra… Par exemple :
” J’inspire la détente, je relâche toutes les tensions.
J’inspire la confiance, je libère tous les doutes.
J’inspire les solutions, je laisse aller tous les blocages”

➡️ A ce stade, j’ai retrouvé un peu de calme, je me sens plus détendue, plus sereine. J’en profite pour demander des solutions, des guidances, j’adresse mes prières et ma gratitude pour l’aide que je reçois. Et j’écris tout ça pour en garder traces et pouvoir le relire.

5️⃣ Si vraiment, je sens que je suis sur un gros dossier, à une étape clé de ma vie, j’appelle mon thérapeute favori. Quelqu’un d’extérieur aura plus de facilité à voir et à agir sur mes blocages.

➡️Si c’est votre cas, appelez-moi au 06.03.311.211
sur la Côte de Nacre ou à distance
https://peggyhermite.com/

L’accueil, l’acceptation et le choix

En EFT, on entend souvent que l’on doit commencer par accepter notre problématique. “Je m’aime et je m’accepte” est la première phrase à tapoter sur le point karaté. Mais l’acceptation peut être un concept flou, un peu comme le lâcher prise chez d’autres.

En réalité, c’est parce que je choisis d’accueillir que l’acceptation arrive et que l’énergie se libère et se remet en circulation.

Tant que je n’ai pas entendu et accueilli ce qui se passe réellement (que ce soit un problème physique ou émotionnel), c’est comme si tout était figé, bloqué, en attente. En attente, parce que notre corps, ou la Vie sait qu’il s’agit de quelque chose d’important pour nous, d’une prise de conscience capitale pour nous faire évoluer et passer à un autre niveau.

Cette vision nouvelle des choses permet une autre lecture de nos “épreuves”, de nos “échecs”, de nos “coups durs”. On se rend compte que ces “épreuves, échecs ou coups durs” n’existent pas en soi. Et cela ne veut pas dire pour autant que tout est rose et facile dans le monde merveilleux des bisounours 😀 . En fait, ce ne sont que des occasions de s’arrêter et s’interroger pour ressentir vraiment :
– Qu’est ce qu’il se passe dans ma vie ?
– Qu’est ce que je ressens dans mon corps ?
– Et dans mon cœur, quelles sont les émotions présentes, en dualité ?
– Qu’est ce qui s’affronte en moi ?
– A quoi je résiste ?
– Avec quoi je me débats en ce moment ?
– Qu’est ce que je voudrais faire et que je n’arrive pas à faire ?
– Qu’est ce que je ne m’autorise pas à faire ? …
Echantillons non exhaustifs, laissez émerger les questions et les réponses qui ne demandent qu’à être entendues.

A travers ces réflexions (ce qui se retourne vers moi) j’accueille ce qui se passe, ce qui est à cet instant. Et j’ai toujours le choix d’accueillir ou pas, de continuer à nier ou à résister. Mais toute douleur est une invitation à mettre de la conscience, à  faire la lumière sur cette zone d’ombre.

En accueillant, je prends conscience, je remets de la lumière et je permets à l’énergie bloquée de se libérer. Elle n’a plus de raison de rester figée, elle a été entendue et comprise. Elle peut se dissoudre et se remettre en circulation.

Ces étapes — choisir d’accueillir et libération — sont nécessaires à tout processus de transformation et de guérison. Désormais, en début de séance d’EFT c’est en pleine conscience que je dirai (et vous proposerez de dire):

“Même si j’ai cette problématique, je m’aime et je m’accueille complètement avec tout mon amour et ma bienveillance”

Pour vous faire accompagner, rendez-vous ici:
https://peggyhermite.com/

Tout part de nous – Ho’oponopono

TOUT PART DE NOUS
Ho’oponopono, la sagesse hawaïenne, nous enseigne que nous sommes responsable de tout ce que nous vivons. C’est de prime abord difficile à admettre surtout si c’est la première fois que vous lisez quelque chose de ce genre! En fait, ho’oponopono considère que ce sont nos pensées qui créent notre réalité. Si je vis des difficultés dans ma vie, c’est que mes pensées ne sont pas adéquates, qu’elles sont erronées. Aussi tant que je ne vis pas une vie parfaite et harmonieuse en tous domaines c’est qu’il me reste des pensées erronées à corriger dans les domaines concernés. C’est d’ailleurs ce que signifie Ho’oponopono : corriger ce qui est erroné, ou rendre droit.
Le Dr Ihaleakala Hew Len a utilisé Ho’oponopono dans un hôpital psychiatrique, il a réclamé les dossiers des patients dont certains été très violents et sévèrement atteints, puis il s’est enfermé dans son bureau. Quelques mois après, sans jamais avoir rencontré un seul des patients, l’état de ces derniers s’était considérablement amélioré, les traitements avaient été allégés et les isolements se raréfiaient. Après 3 ans la salle des cas les plus graves a été fermée.
La grande question est: “mais comment a-t-il fait?”. Voici sa réponse:

” Je guéris la partie en moi qui les a créés. Car tout dans ma vie est ma création. Donc pour changer ma vie, je dois commencer par moi. Et cela se fait en répétant simplement « Désolé, pardon, merci, je t’aime ». Cela invoque l’esprit d’amour pour guérir la partie de moi-même en rapport avec le problème et corrige en conséquence les pensées erronées à ce sujet.”

“Je dois commencer par moi”, c’est donc bien que tout est à l’intérieur de nous et que tout part de nous. Nous devons impulser les choses pour les créer dans la matière. Si elles ne sont pas créées comme nous l’entendions c’est que le programme interne a un défaut que l’on peut corriger grâce à Ho’oponopono (entres autres).
D’ailleurs ne dit-on pas : “Aide-toi et le ciel t’aidera”? Combien de fois avons-nous entendu cette vérité? Il est pourtant des domaines, ceux de nos projets, de nos envies notamment pour lesquelles cette phrase ne semble d’aucun secours: “non, c’est trop tôt, je ne suis pas prête…” “j’attends d’avoir ceci, d’avoir fini cela” ou pire “j’attends que ce soit le bon moment”. Et nous voici alors en position d’attente, que le ciel veuille bien nous faire signe. Il le fait sûrement d’ailleurs, mais “on n’est pas sûre, cela ne peut pas être pour nous…” etc… Cela vous parle?
Et bien sachez que pour recevoir ces signes, il vous faut d’abord décider ce que vous voulez faire, ou définir ce dont vous avez besoin, puis vous mettre en action, en quête de ce besoin. Alors, l’univers tout entier se réalignera pour répondre à votre demande ou votre besoin. C’est ainsi que cela fonctionne. L’impulsion doit être intérieure, et le reste en découle et surtout pas l’inverse. Si vous attendez que l’univers veuille bien vous donner toutes les conditions idéales pour vos projets/envies/besoins, vous pouvez attendre longtemps et peut être même ne jamais les voir arriver. Tandis que si vous savez ce que vous voulez et que vous réalisez chaque jour une étape vers cet objectif, l’univers répondra à votre impulsion en vous envoyant des opportunités, des occasions, des inspirations. A vous ensuite de les reconnaitre et de les saisir.
Une autre chose à savoir c’est que l’Univers aime la rapidité. L’inspiration est souvent envoyée à plusieurs personnes en même temps. Celle qui réagit la première a donc le champ complètement ouvert, les autres devront se satisfaire des restes.
Si vous rencontrez des difficultés à vous mettre en action je vous offre ce protocole EFT:
Intensité?
Point Karaté: “Même si j’ai des projets que j’ai du mal à concrétiser, je m’aime et je m’accepte infiniment;
même si je sais que je dois me mettre en action et travailler sur mes projets, mais que je n’y arrive pas et que je trouve toutes sortes d’excuses pour éviter de m’y mettre réellement, je m’aime et je choisis aujourd’hui de respirer et de rester calme;
même si je ne comprends pas pourquoi je bloque sur la mise en route de mon projet, et que je vois absolument pas comment me sortir de cette impasse, je m’ouvre à la possibilité de faire sauter tous ces verrous rapidement et facilement”
Dessus de la tête: j’ai pleins de projets et pourtant je n’avance sur aucun
Début du sourcil: chaque jour je procrastine, et je renâcle à m’y mettre
Coin de l’œil: c’est tout simplement impossible pour moi de m’assoir, de réfléchir et concrétiser mon projet
Sous l’œil: je ne comprends pas pourquoi ça bloque, ce projet me tient pourtant tellement à cœur
Nez/Menton: je n’y arriverais jamais
Clavicule: je ne suis pas suffisamment compétente
Aisselles: je ne sais absolument pas comment m’y prendre
Sous seins: ni même par où commencer
Dessus de la tête: il doit bien y avoir une solution
Début du sourcil: et si je mettais ce projet dans mes priorités?
Coin de l’œil: c’est bien ce qui me fait peur, que cela me prenne tout mon temps
Sous l’œil: je n’en ai déjà pas beaucoup, mais là je ne ferais rien d’autres à coté
Nez/ menton: et qui sait combien cela me prendra de temps après?
Clavicule: je n’ai pas commencé que je n’en vois pas le bout
Aisselles: ça me fatigue d’avance
Sous seins: et si cela était facile et amusant de travailler ce projet?
Dessus de la tête: et si une fois le premier pas franchi, le reste découlait tout seul
Début du sourcil: après tout, on dit bien “aide-toi et le ciel t’aidera”
Coin de l’œil: en avançant petit à petit, régulièrement sur mon projet, je suis assurée que l’univers me soutiendra
Sous l’œil: je m’ouvre à recevoir tous les signes et inspirations qui contribuent à la bonne réalisation de mon projet
Nez/menton: je m’ouvre à la possibilité de concrétiser mon projet dans les délais optimaux pour moi
Clavicule: je m’ouvre à la possibilité que mon projet avance rapidement et facilement, dans la joie et la bonne humeur
Aisselles: je m’ouvre à la possibilité de prendre plaisir à définir, concrétiser et peaufiner ce projet qui me tient à cœur
Sous seins: Aujourd’hui je choisis d’être efficace et de réaliser une étape vers mon objectif
Respirer profondément et boire de l’eau
Quelle est l’intensité désormais?
Ce protocole peut-être répété tous les jours autant que nécessaire, je vous encourage à l’adapter à votre situation personnelle. Je peux d’ailleurs vous y aider le temps d’une consultation par exemple.
Je vous invite également à participer au webinaire de Gaelle Le Reun ce soir 11 août à 20h30, elle nous invite à profiter de l’été pour initier cette impulsion intérieure justement, pour oser changer de vie!
Il vous suffit de cliquer ici:
Source d’inspiration  pour cet article:
“Ho’oponopono, la sagesse hawaienne” Luc Bodin
“La clé” Joe Vitale

De la perfection à l’amour

Ah le perfectionnisme! C’est que j’en connais un rayon à ce propos!

J’aime les choses bien faites, belles, parfaites. Je me donne souvent du mal pour qu’il en soit ainsi. Mais je dois avouer que c’est épuisant, encombrant aussi souvent. C’est en effet un excellent moyen de ne rien faire: “ah oui mais non, il me manque ça”, “ah oui mais non je ne suis pas prête”, “dès que j’aurai fini cette formation, tout sera ok”. Mon œil, oui! On sait très bien, nous les perfectionnistes, ce qui sera ensuite: on en démarrera une autre de formation! Pas vrai?

Et oui certaines personnes préfèrent attendre les conditions idéales avant d’agir. Le perfectionnisme devient alors source d’échec, du moins d’immobilisme. Il agit comme un frein, parcequ’alors même si on ose entreprendre quelque chose, il y a fort à parier que nous serons insatisfaits ou deçus du résultat.

Mais l’avantage c’est qu’on a un résultat! Une base qu’on peut éventuellement améliorer (ben oui on ne se refait pas comme ça…). C’est donc déjà beaucoup mieux que de n’avoir rien fait!

Je rappelle mes 2 citations fétiches, 2 fantastiques moteurs dans ma vie:

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Alan Cohen le souligne aussi: “N’attendez pas que les conditions soient parfaites pour commencer, le fait de commencer rend les conditions parfaites”

Mais malgré cela, mon côté perfectionniste rechigne, attend, révise 1000 fois avant de se dire “bon, assez attendu, on y va”.

Et je tombe sur un message dans le livre “La petite voix” de Eileen CADDY qui m’éclaire enfin : “ce sera fait avec amour et donc à la perfection. Que la perfection soit ton but à tout instant. Lorsque tu fais quelque chose avec Amour, tu le fais pour Moi”.

Waouh, on a donc le droit d’exiger la perfection, d’agir pour et avec perfection non pas pour que les choses soient bien faites, excellentes, parfaites, non pour qu’elles soient faites avec Amour. Et c’est cela qui les rend parfaites! mais quel bonheur et quel soulagement cette petite phrase. D’ailleurs cela résonne avec un autre message récent qui parlait déjà d’amour:

“Une grosse et lourde porte me fut montrée très difficile à ouvrir parce que les gonds étaient rouillés. Puis je vis que l’on mettait quelques gouttes d’huile sur les gonds et qu’on manœuvrait doucement la porte jusqu’à ce qu’elle puisse être ouverte du doigt. j’entendis les mots : “utilise de plus en plus l’huile de l’amour, car c’est l’amour qui trouvera toujours un chemin. Ouvre ton cœur et laisse l’amour couler librement!”.” 

Aujourd’hui encore je reçois ce message d’Amour et je ne résiste pas à le partager avec vous:

 

Avec tout mon Amour, ouvrez vos coeurs les zAmis, et accueillez cet Amour, rien que pour vous!

Une histoire de talents

Ce week end lors d’une exposition de peintures sur la promenade de Jullouville, j’ai entendu cette bribe de conversation entre une dame et un des artistes exposant :
– ”moi, je suis nulle en peinture”
– ”et, tu es douée en quoi?”, lui répond le peintre

Cette remarque m’a fait sourire en passant! Il a raison cet artiste, on focalise trop souvent sur ce qui ne fonctionne pas, sur nos défauts, nos erreurs … On se plaint, on critique, c’est facile. Et je n’y ai pas échappé, j’avoue avoir fait un peu ‘ma victime’ ces derniers temps.

L’avantage c’est que dès lors qu’on prend conscience de comportements inappropriés, on peut décider de les changer et acter ces changements.
Il me semble que c’est Max Piccinini qui dit:
”Pas de prise de conscience, pas de changement,
Et pas de changement, ben … pas de changement !”
Il n’y a pas de mystère ! Les choses se font rarement toute seule.

Donc aujourd’hui, je décide de focaliser sur:
– ce qui fonctionne,
– ce que j’ai déjà réalisé et qui permettra la mise en place du reste,
– sur qui je suis,
– et sur la gratitude et ”l’admiration pour toute la prospérité que j’aie autour de moi” comme nous le conseille Deepak Chopra aujourd’hui.

C’est juste une question d’intention et de vigilance pour aujourd’hui.
Cette dame en réajustant sa vision des choses a répondu : ”En quoi je suis douée? En tout le reste!” Ben voilà, elle a pleins de talents. Et nous en avons tous des talents, connus ou pas encore révélés. Mais chacun de nous est doué pour quelque chose.

Quel est le vôtre ?

Prenez soin de votre harmonie en ce début de semaine!

L’acceptation

A propos de l’acceptation Véronique Desjardins cite sa maman dans “Ce que vous aurez délié sur Terre-La disparition d’une mère”:
“C’est sur l’acceptation de ce que je suis dans sa totalité, que porte le principal de mon travail. Le refus de ce que je suis créé une tension telle qu’il ne fait que renforcer cette part de moi-même qui, hélas, trop souvent me fait horreur. Il ne s’agit pas de la condamner mais d’y remédier. Et ce n’est que par étapes, petit à petit, qu’un approfondissement peut se faire.”

Ce passage m’a fait prendre conscience que l’acceptation n’est vraiment pas une mince affaire. En théorie, c’est simple mais en pratique je me rends compte que ça ne l’est pas. Je parle ici de l’acceptation pleine, totale et entière, de toutes les facettes de mon être. Je m’accepte dans ma globalité si je puis dire. Je n’ai pas de problème avec mon physique par exemple, mais je sais que cela peut déjà représenter une difficulté pour certains qui se heurtent à leur image. Et, l’image que l’on a de soi n’est pas forcément le reflet de la réalité. Ces hanches sont elles si énormes? Ce ventre si flasque? Ce nez si visible? C’est notre propre regard qui s’arrête sur notre silhouette, pas celui des autres. Cela ne dérange ‘que’ nous. Nous refusons ces parties de nous qui ma foi nous le renvoient bien!
Mais dîtes-moi: que fait un enfant en mal d’attention? Il crie, ou fait n’importe quoi d’autre pour qu’on le remarque. La seule façon de le faire cesser est de répondre à son besoin d’attention. C’est exactement ce que réclame ces parties détestées, notre attention, notre amour. On peut commencer par en prendre soin, en les massant, en les chouchoutant “même si tu n’es pas aussi parfait que j’aimerai, tu fais partie de moi et je prends soin de toi, je m’accepte petit à petit complètement.”

Je m’accepte donc a priori dans ma globalité, disais-je. Mais si je détaille un peu, je m’aperçois que je ne peux pas en dire autant de certains “travers”. J’en ai eu la preuve la semaine dernière…J’ai été très agacée par des attitudes récurrentes qui n’étaient pas de mon fait. Elles ont provoqué chez moi une vive colère, inhabituelle, et plutôt disproportionnée. C’était la fois de trop! C’est ensuite mon intolérance, vis à vis de ces comportements, qui m’a énervée. Dans un cas comme dans l’autre, j’étais dans le jugement (de l’autre, puis de moi) et ne pouvais passer à autre chose. Je tournais en rond dans mon bocal d’idées sombres accusatrices.

Ces comportements qui m’insupportent, chez moi ou chez les autres, ce sont en fait, par effet miroir, des parties de moi que je n’accepte pas, que je rejette. Et elles me le renvoient à travers le comportement des autres qui m’agacent, pour que j’en prenne conscience, que je les re-connaisse.
J’ai pu alors prendre du recul sur la situation et faire juste le constat: “ok, ces comportements viennent heurter quelque chose en moi, et qui n’est pas résolu. C’est pourquoi j’ai réagi vivement. C’est ok, je ne suis pas parfaite.” Et tant mieux! Mon imperfection est parfaite! Si nous étions parfaits que ferions nous sur terre?
Je fais seulement de mon mieux à chaque instant -selon le 4e accord toltèque- cela implique aussi de se tromper, et par là même d’avancer. J’accepte donc d’être là où j’en suis maintenant, avec mes imperfections, et je me respecte infiniment. C’est avec ces paroles qu’on débute une séance d’EFT. On ne peut avancer sans commencer par accepter de regarder ses problèmes en face, sans les reconnaître. Je m’aime même si j’ai été intolérante envers moi et mes proches la semaine passée. Reconnaître et entendre les parties de nous en souffrance -rappelez vous comme l’enfant- et leur permettre de s’exprimer: voilà le chemin de l’acceptation qui mène vers la guérison.

Pour finir j’applique ho’oponopono pour m’aider sur ce chemin:
Je suis désolée d’avoir été intolerante et d’avoir blessé mes proches
Je demande pardon pour cela
Je remercie d’avoir l’occasion de m’améliorer
Je m’aime et j’aime le monde.

 Très bon week-end à tous dans l’acceptation et la lumière.

La patience

La patience.Voilà bien un sujet qui me pose quelques difficultés. Pas toujours, j’ai une patience d’ange pour tout ce qui est minutieux ou avec les enfants la plupart du temps. Mais quand il s’agit de moi, c’est une autre histoire! Cela ne va pas assez vite à mon goût. Je n’ai jamais assez de temps pour tout faire. Je deviens alors très impatiente.
Pourtant je sais pertinemment que des temps d’actions et de repos doivent alterner. Ces derniers sont même nécessaire pour intérioriser  intégrer, digérer, récupérer pour mieux repartir ensuite. On ne peut pas tenir un rythme effréné continuellement. 
Mais c’est terrible, j’ai l’impression de ne rien faire et je le vis mal. C’est faux bien sûr, ce n’est qu’une apparence.La graine même si on ne la voit pas encore, germe sous terre bien avant de percer dans la lumière.
Et il est inutile de tirer sur la plante pour tenter de la faire pousser plus vite. On risque juste de l’abîmer. Elle n’est simplement pas prête. Il est nécessaire d’attendre.
De la même façon si on aide un papillon à sortir de sa chrysalide avant l’heure, il sera trop faible pour survivre. Il y a un temps pour chaque chose.

papillon

Mon camélia en bouton depuis le mois d’août me rappelle chaque jour cette précieuse vérité. Il s’épanouit chaque jour un peu plus, de manière à peine visible, très lentement, et surtout à son rythme. Mais il s’ouvre, il n’en doute pas!

Camelia en bouton

L’impatience qui trahit nos doutes trouve donc son antidote dans la foi.
La foi que tout est juste.
La foi que tout arrive en temps utile.